L’ombre et la lumière se partagent ta vie. L’espoir valse avec le désespoir. La peine et la joie se coursent à travers les jours. C’est ainsi, vivre. Et c’est ainsi qu’il faut prendre la vie dans le droit fil de ses hauts et de ses bas.
Ne cherche en aucun cas à supprimer l’une des polarités. Sinon, comme dans une ampoule électrique, le courant ne passe plus.
En tout état de cause, tu n’es pas cette ampoule. Tu as même la liberté d’allumer ou d’éteindre, consciemment. Avancer vers le divin, c’est cultiver précieusement cette conscience libre. Souffrir, tu le sais, c’est t’identifier.
Lorsque tu décides de t’arrÃ