Je t’ai surpris, en tête-à-tête avec le ciel bleu. Tu disais des mots d’amour, mots légers qui filaient doucement sur les ailes du vent souple. Dans une blanche ruelle, ton pas solaire me parla soudain de la joie de vivre, de la joie d’être toi-même.
Fascinante est la page blanche, nue ! Et cette blancheur attire de l’écriture. Comme s’il fallait faire un peu d’ombre à la lumière. Aujourd’hui, le soleil, d’une belle vigueur, inonde toute la campagne. Il fait un temps d’été. Les plantes s’épanouissent dans un vaste concert où la nature s’ouvre toute grande.
Des noms remontent du passé, des lieux et des amis. Bien