« Que serait l’homme sur une terre nue sans arbres sans oiseaux sans fleurs ? […]
Le monde entier est sa plus profonde mémoire.
Sauver la nature aujourd’hui, jusqu’à la moindre plante solitaire,
c’est combattre une amnésie commençante sans autre issue
que le dessèchement du cœur »
Par
(1939-2023) écrivain et ethnobotaniste français. Autodidacte,