UPY : le « syndicat » fondé par Élodie Garamond (Centre Tigre), Véronique Maillet (Centres QEE), Marion Sebih (entrepreneuse associative et yogini), Éric Langevin (Yoga Vision)…, dont la mission autoproclamée est de représenter l’ensemble des professionnels du yoga, s’est réuni en zoom le 19 octobre. Ce « super syndicat » négocierait en leur nom des conditions avantageuses pour exercer leur profession auprès des ministères, des assurances, des mutuelles, des sous-traitants…
L’UPY dit rechercher une reconnaissance et une tutelle ministérielle. Une protection qui forcément ne sera pas sans contreparties. Le but avoué est fiscal et financier, exister pour être soutenu : TVA, chômage, aides publiques aux centres, contrat « groupe » (Be Sport…) Labéliser les formations (voir Yoga Alliance ou Union européenne de yoga) est plus compliqué. C’est un rêve ancien et récurrent, pas forcément partagé par tout le monde.
Le yoga en lui-même n’a pas besoin d’être reconnu. C’est déjà fait par la communauté des pratiquants, nombreux, qui en ont fait un art de vivre en conscience. Aussi, le ministère du Travail es
