Le passage en force ne dit pas si les lois sont bonnes ou mauvaises, mais nourrit les interrogations sur la démocratie. La désillusion est palpable quant à notre système politique ou à la capacité des mouvements collectifs à faire évoluer positivement les situations. Zineb Fahsi développe l’idée qu’un certain « yoga-cocon » contemporain fait le jeu du capitalisme néolibéral et porte les ingrédients de cette désaffection en faisant reposer la responsabilité du « mieux-être » entièrement sur l’individu et non plus sur la société. Le yoga peut certes nous aider, mais il ne peut ni nous sauver ni sauver le monde (voir
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