Il y a une confusion palpable chez beaucoup d’entre nous après ces deux années troubles qui ont mis en évidence l’impermanence des choses auxquelles on s’était attaché ou habitué. On ne comprend plus, ni les milliards dépensés pour faire la guerre ni le prix de la baguette qui augmente. « Rien n’est comme avant », entend-on, alors qu’un nouveau besoin de liberté se fait sentir.
Il y a comme un flottement qui demande une vraie force mentale pour rester en équilibre (voir Séance du mois) et s’ancrer avec la posture de Natarâjâ, qui danse su