Les « plateformes yoga » en ligne se multiplient. Elles se proposent « d’aider » les centres de yoga, les professeurs, à développer leur business, et les clients à trouver leurs enseignants. Entre exploitation, instrumentalisation et dépendance, et parfois de maigres mais nécessaires revenus et collecte d’adresses mail… Les professeurs de yoga en parlent peu, entre silence imposé par des clauses de confidentialité et peur de la transparence. L’expérience approfondie du Centre NATA (Paris 20) par sa fondatrice.
En 2009 Uber a créé une plateforme en ligne mettant en relation des personnes ayant besoin d’un service de transport avec des personnes proposant une voiture. L’entreprise écume une commission de 25 % sur les transactions financières qui transitent via son site internet.
C’est un modèle économique dit « disruptif » (en rupture) qui repose sur les nouvelles possibilités informatiques et qui touche aujourd’hui le milieu du yoga, sûrement peu préparé, mais dont les conséquences ne sont pas neutres sur la vie des studios et sur la transmission de cet art.
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One thought on “L’ubérisation du yoga”
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