Rencontre

L’ouverture

Mont Kalash, la montagne magique, la demeure de Shiva
Cécile Guilbert

Son oncle va en Inde suivre les enseignements d’un « libéré vivant » ; sa tante Colette ceux de T.K.V. Desikachar à Madras et de Gérard Blitz. Elle en parle. On est dans les années soixante-dix. Jeune, l’auteur n’accroche pas à cette culture spirituelle familiale. Ecrivain, à l’âge de la maturité, elle redécouvre le yoga, l’Inde à un moment de sa vie traversé par des deuils. Elle raconte. Faut-il mourir pour renaître ? Son dernier livre, « Feux sacrés » est le récit d’une pratique et d’une transformation assumée. Propos recueillis par Julien Lorenz

JDY Vous êtes jeune, vous passez à côté de cette spiritualité indienne, qui inspire votre famille ?

Cécile Guibert Adolescente, les « feux sacrés » sont d’abord pour moi ceux de la poésie. Rétroactivement, je m’aperçois que cet intérêt s’aimantait déjà à l’absolu, à une autre dimension de la réalité mais sur le moment, je ne fais pas le lien entre l’ardeur poétique et la spiritualité qu’évoque ma famille. Je pense que ce sont deux mondes étanches. Je suis ignorante. Je ne suis pas hostile, mais je considère que je n’ai pas besoin

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