
Être seul, c’est être en présence de toi-même.
Cette solitude peut être plénitude. Lorsque tu te sens en bonne compagnie avec toi-même, tu es en bonne route. Être esseulé, par contre, c’est constater l’absence de toi-même, parce que l’autre, ou les autres, sont absents.
Tu te mets alors en quête, de toute urgence, d’un compagnon, d’une compagne. Il te faut, à tout prix, de la compagnie. Prends garde, le prix peut-être très élevé. L’autre, les autres, très vite aliènent ta liberté. Une fois l’autre, les autres, dans la place, il ne t’en reste plus guère. Enfin, en bout du compte, tu commences à comprendre que l’autre,