
Ce que tu ne peux chercher est le divin, car c’est lui qui te cherche, incessamment. D’où vient alors que tu t’en sentes si souvent coupé ?
De ce qu’entre lui et toi, tu interposes tes croyances – matérielles comme spirituelles. Au fond de toi, tu crois d’abord à la nourriture, au sexe, à l’argent, au pouvoir, aux possessions de toutes sortes. Or rien de tout cela ne doit être objet de croyance. Cela est à vivre, quand besoin est, avec une attentive simplicité.
Mais ton attachement complique et, qui plus est, obnubile ta capacité d’attention. Tu t’engloutis dans ce qu’on l’on nomme « les biens de ce monde », qui sont si souvent les maux de ce monde. Un jour, forcément, tu t’aperçois de ton esclavage. Tu secoues tes chaînes, mais faute d’en connaître le chiffre