« Pour moi, il n’y a pas en sanskrit de mot équivalent à « amour », à « sagesse » non plus, toujours reliée à l’intelligence ou à la discrimination.
Il y a kâma, le désir comme force de vie devant laquelle tout le monde s’incline et tout le monde en sera victime. Une pulsion jamais pénalisée ni sujette à caution. Il y a aussi prema, la béatitude de l’amour. C’est le cœur, la noblesse du cœur. Et enfin bhakti, qui a été massacrée par l’idée de dévotion, mais qui signifie « partager quelque chose ».
« Il est dit dans la Bhagavad-Gîtâ : équanimité, ça s’appelle yoga ». « Le yoga c’est l’h
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