
« Ce que je ne peux pas dire à haute voix » de Riti Sengupta
Artiste née en 1983 à Kolkata, Inde, où elle vit et travaille.
Après huit ans d’indépendance, Riti Sengupta retourne vivre chez ses parents, à Kokata (Inde), pendant la pandémie.
À l’aune de ce rapprochement, elle comprend à quel point la dynamique de sa famille est empreinte de mécanismes patriarcaux qui s’expriment dans les détails de la vie quotidienne. « Ce que je ne peux pas dire à haute voix » est un dialogue intergénérationnel entre mère et fille.
Pour appréhender l’acceptation confortable de la position de sa mère au sein de la maison, Sengupta a initié ce qu’elle appelle des « conversations de cuisine ». Le contraste entre les vies de ces femmes avant qu’elles ne se marien